Évincée de la Commission européenne, l’économiste Fiona Scott Morton s’attaque à la France
Lors d’un entretien au Telegraph, Fiona Scott Morton a dénoncé le manque d’assurance de la société française. Le comportement de la France est à la fois gênant et pénible, en niant le fait qu’aucun Américain poussé par des principes ne veuille pas collaborer avec l’Europe.
L’économiste s’est exprimé de façon dure et directe. Son expulsion de la Commission européenne dure déjà un mois et demi, et c’est à présent qu’elle a décidé de manifester sa colère contre les autorités qui se sont opposées à son arrivée.Et grâce à son échelon, elle a pointé le doigt à la France, vu que Paris était le premier qui s’est opposé à sa nomination. Pendant un entretien au Telegraph, elle s’est énervée en déclarant que ce n’est pas comme ça que son monde fonctionne, et ce, d’être engagé et évincé en un clin d’œil.
Elle a témoigné sa déception d’être exclue, en annonçant, qu’elle était obligée de réorganiser sa vie et celle de sa famille pour intégrer Bruxelles et de s’engager dans la Commission européenne. À cause de cette éviction, plusieurs projets sont tombés à l’eau, en seulement quelques jours. La France, plus précisément, Emmanuel Macron, a lancé des critiques entraînant son expulsion obligatoire. D’après elle, l’économiste en chef de la direction générale de la Concurrence doit être équitable, mais pas que, il doit également être défendu par la communauté membre de l’Union Européenne.
Fiona Scott Morton s’en prend à la France, après sa destitution. Elle a ajouté que si la France et le président français se soucient sur le recrutement d’un Américain pour occuper ce poste, la réalisation de ce travail s’avère être très compliqué, vu que les querelles politiques et bureaucrates auraient été semés sans cesse. Même si elle a le soutien indéfectible de la commissaire en charge de la Concurrence, Margrethe Vestager, elle a décidé de décliner l’offre en déclarant qu’elle n’a pas envie d’intégrer un monde dont la partie considérable souhaitait son départ.
Fiona Scott Morton se révolte contre les critiques venant des Européens et notamment les Français. Elle a même accusé les arrière-pensées de certains, alors que d’autres ont qualifié sa candidature de « cheval de Troie » pour les profits de Washington et les géants de la Tech dans l’Union. Elle réagit sur ses missions de conseil à l’égard des sociétés de la Tech. Elle a annoncé que les États peuvent se décider. Ils ont le droit d’adopter une personne qui n’a pas de compétence en matière du travail du Consultant. Si les membres souhaitent nommer un individu doté des connaissances particulières, il doit disposer ces missions de conseil et avoir ce conflit d’intérêt.
L’économiste dénonce le président français considérant que sa vision est pitoyable. Elle a déjà travaillé pour le gouvernement d’Obama. Elle a prévenu contre l’implication dans les désignations techniques au niveau des institutions. C’est un facteur destructif pour l’indépendance de l’Union Européenne.