Londres opte pour la démarche Turque pour mieux s’opposer à l’UE
La décision du Royaume-Uni est prise, il accompagne la Turquie, suite à la domination des Bruxelles. Actuellement, à Bruxelles, l’activité relative sur le domaine de la diplomatique est en pleine émotion. Quand le Brexit n’était pas encore là, les pays membres étaient obligés de se montrer patients avant de pouvoir discuter à propos des politiques.
Ils ont fini par constater qu’il était temps pour eux de réagir face à l’Union Européenne. Outre, après la sortie de l’UE de Londres et Turquie, l’État britannique a fait tout son possible pour susciter les disputes. Pour cela, il a recherché des querelles auprès de leur ancien collaborateur. Tout d’abord, les concernés ont rejeté la charte d’agent au représentant de l’UE à Londres. Ensuite, ils ont illégalement résilié quelques accords qui étaient conçus parmi l’acte de Brexit, sur Irlande du Nord. De plus, ils ont dénoncé les correspondants européens et critiqués de vaccinal patriotisme, tout ça à cause de la décision de l’UE sur le fait d’exiger l’inspection, sur toutes les expéditions de dose produite en Europe. Le critique de fourberie du même que la mauvaise disposition d’esprit circule entre les deux pays, Londres et Bruxelles.
Les conséquences de leur acte
En outre, avec cette décision prise par le Royaume-Uni d’abandonner l’UE, ils savaient bien ce qui leur attend. Ils sont aptes à suivre et à imiter la Suisse ou la Turquie, qui sont tous des états puissants, aussi bien sur le plan économique que sur le domaine social. Ils doivent, de ce fait, s’attendre à leur domination et les éventuelles conséquences de leur décision. Mais dans un autre côté, ils sont dans l’obligation de les affronter.
Il faut bien reconnaître que la Suisse qui a détesté l’UE, en raison de leur intervention dans toutes sortes d’activités, ils ont circulé des embrouilles compliquées, par rapport aux actes de l’UE. Par contre, à propos de la Turquie, les acteurs ont seulement affaire à un contact sur le plan commercial, c’est-à-dire une alliance qui se rapporte afin d’échanger ouvertement des produits. De toute façon, tout ça ne veut pas dire que l’Europe ne trouve pas une opportunité pour s’attaquer à la Turquie.
Thérésa May, l’ex-Première ministre a affirmé que le Royaume-Uni a pris la mauvaise décision, étant donné que la discipline en Suisse est presque similaire à celle de l’UE.