La place de l’Europe dans le commerce mondial

mai 30, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: L'europe dans le monde, Union Européenne 

En 2011, l’UE est de loin la 1ère puissance commerciale au monde (échanges de marchandises et de services).
L’UE a développé les échanges internationaux même si le commerce intra-européen domine dans les échanges des pays membres.
L’UE est en 1ère position pour les exportations de services, loin devant les États-Unis, ce qui n’est pas négligeable dans un monde où le secteur tertiaire tient une place éminente.
15 % des exportations mondiales, 17 % des importations en 2011 (ensuite vient la Chine avec 14% des X puis les EU avec 11% des exportations mondiales).

- Sa position relative est toutefois en recul sur le long terme puisqu’en 2000 elle réalisait 17,5 % des exportations et 19,3 % des importations. On comparera cette évolution à celle de la Chine hors Hong Kong qui, pendant la même période, est passée:
•de 5,6 % à 13,4 % des exportations
•4,7 % à 10,6 % des importations

- Placée au cœur des flux financiers, l’UE émet et accueille le plus d’IDE même si la crise à réduit cette attractivité.
IDE entrant (accueil) : 36% des IDE sont accueillis dans l’UE et 43 % d’IDE sortent de l’UE en 2011.

Voyager en europe

mai 27, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: Voyages et tourisme 

Préparer son voyage en europe

Afin de bien préparer un voyage en Europe, il est primordial d’avoir bien défini ses attentes et ses objectifs. La préparation d’un voyage en Europe, que ce soit dans un pays précis ou dans plusieurs pays de l’union européenne, est primordiale. Mais ou trouver les informations nécessaires pour bien réussir un voyage en Europe? C’est ce que nous allons vous expliquer dans cet article.

Ou trouver les informations pour bien préparer son voyage en Europe?

Depuis la création de l’union européenne, il est devenu bien plus facile pour les hommes de circuler. Ainsi, vous devrez surtout vous documenter sur les hébergements et moyens de transports disponible dans le ou les pays que vous souhaitez visiter. En effet, faire du tourisme en Europe ça se prépare. Vous trouverez sur ce site de nombreuses informations sur les différents pays européens et hôtels, gîtes ou campings dans lesquels vous pourrez aller.
Dans la colonne de droite cliquez simplement sur le pays de votre choix et les informations nécessaire pour faire du tourisme dans cet espace de libre échange s’ouvriront à vous.

Voyage en Europe pas cher

Nous développerons bientôt une liste des sites les plus compétitifs qui vous permettront de faire de grosses économies pour tout voyage en Europe! Il est en effet primordial de trouver des transports et hôtels pas cher si l’on souhaite réussir à faire un voyage pas cher en Europe.

Régionalisation de l’économie mondiale

mai 22, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: L'europe dans le monde, Union Européenne 

Création ou détournement de trafic ?

L’union douanière modifie les courants d’échanges internationaux en créant des liens privilégiés entre certains partenaires. Ces modifications sont analysées en distinguant des effets de création d’échanges, des effets de détournement d’échanges. Les effets de création représentent une amélioration de l’allocation des ressources : ils correspondent à l’élargissement d’un marché qui se crée du fait de la disparition des barrières douanières et bénéficie encore davantage d’une monnaie unique qui supprime les coûts de transaction. Il en résulte une augmentation des échanges entre les Etats membres. Il doit finalement conduire à des gains d’efficacité : les fournisseurs nationaux de chacun des pays membres de l’union douanière dont les coûts de production sont internationalement les plus bas développent leurs exportations à l’intérieur de la zone et éliminent du marché les producteurs les moins efficaces.  Prenons l’exemple de l’Espagne et du Portugal qui, avant leur rentrée dans la CEE en 1986 se fournissaient en blé auprès des Etats-Unis. A partir de leur intégration, elles vont bénéficier du tarif avantageux offert aux Etats membres de la CEE et vont dorénavant s’approvisionner en blé européen.

Les effets de détournement représentent, au contraire, une détérioration de cette allocation. Ils concernent en effet une création de trafic qui n’est pas optimale mais due à l’existence de subventions permettant l’établissement de prix attractifs pour les pays membres ou, au contraire de droits de douane pénalisant les produits non membres. Le Portugal et l’Espagne vont pouvoir bénéficier d’un tarif commun sur le blé mais cependant moins attractif que celui qui existe sur le marché mondial sans l’application du tarif extérieur commun. Ce second effet indique que des fournisseurs pourtant moins efficaces appartenant à l’union douanière sont préférés aux fournisseurs efficaces qui sont hors de l’union douanière. Leurs ventes renchéries par le tarif extérieur commun vont diminuer.

Si les pays membres de l’union sont de grands pays susceptibles d’influencer les prix internationaux, ou si des pays se groupent en zones suffisamment importantes pour influencer ces prix, la protection sur certains produits peut avoir pour résultat d’améliorer les termes de l’échange pour les pays de l’union. C’est le cas, par exemple, pour un certain nombre de produits importés par la CEE, notamment des produits protégés par la politique agricole commune : leur protection engendre une augmentation de la production européenne qui peut peser sur les prix internationaux et rendre ainsi moins chères qu’auparavant les importations résiduelles de la CEE en provenance du reste du monde. Au résultat précédent pourra alors s’ajouter un gain des termes de l’échange. Mais, il existe une menace concernant l’instauration de droits de douane importants vis-à-vis des pays non membres.

La régionalisation de l’économie bénéficie au commerce mondial lorsque les effets de création l’emportent sur les effets de détournement de commerce. Ainsi, lorsque le nombre de blocs est grand, un pays a une forte probabilité de faire partie d’un bloc régional et donc beaucoup de pays bénéficient des effets de création de commerce.

En ce qui concerne l’évaluation des effets de l’union douanière, les tests empiriques montrent généralement que les effets de création de trafic ont été supérieurs à ceux de détournement dans la Communauté. Par conséquent, la mise en place de la CEE a été profitable pour l’ensemble des pays de l’union douanière.

Le commerce intracommunautaire de marchandises a fortement augmenté entre 1958 et 2010. Pour autant, la progression n’a pas été constante. Elle a été plus lente dans les années 1970, et s’est accélérée avec la mise en place du marché unique dans les années 1980. S’ajoute à cela un effet mécanique d’accroissement des échanges, dû aux élargissements successifs (on peut remarquer que les échanges croissent par paliers, et que ces paliers correspondent au moment où de nouveaux pays sont entrés dans l’Union). En 2010, 67 % des exportations des pays de l’Union européenne étaient intracommunautaire ainsi que 65 % des importations.

Les bénéfices de l’intégration des marchés

mai 14, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: L'europe dans le monde, Union Européenne 

L’intégration par le marché repose sur l’analyse traditionnelle du gain à l’échange et de l’allocation optimale des facteurs. En ouvrant leurs marchés à la libre circulation des biens et des services, les Etats membres espèrent une intensification de la concurrence et une logique de spécialisation, pouvant également conduire à des gains de productivité, des économies d’échelle et donc à une croissance plus dynamique. En laissant circuler librement les facteurs de production, ils espèrent une meilleure allocation des facteurs de production (travail et capital) et donc, là encore, une croissance plus dynamique grâce à des incitations marchandes plus vives.

 

  L’Europe : une puissance de premier plan

L’UE représente un pôle économique de première importance avec un PIB supérieur à celui des Etats-Unis : avec un PIB de 12 500 milliards d’euros, l’UE représente, en 2011, 25 % du PIB mondial

(41 200 milliards d’euros) contre 21 % pour les États-Unis, 8 % pour le Japon et 10 % pour la Chine.

 

     Les avantages du  marché commun

D’abord appuyé sans réserve par les Etats-Unis dans le cadre du plan Marshall, le redressement économique de l’Europe, au fil des Trente Glorieuses, va se révéler spectaculaire. Quant à l’objectif de stimuler la croissance et la compétitivité européennes, il repose sur des arguments déjà rencontrés, puisqu’il s’agit là des arguments traditionnellement mobilisés pour montrer en quoi le libre-échange, et l’ouverture internationale qui l’accompagnent, peuvent être source de croissance, à savoir :

  1. Le fait d’avoir recours aux producteurs les plus compétitifs, où qu’ils se trouvent. Mais aussi d’empêcher les situations de monopoles et ainsi de diminuer les prix.
  2. Le marché unique a pour effet de diminuer les coûts de revient des entreprises en faisant disparaitre les droits de douane, en homogénéisant les réglementations et les normes (il y a diminution des coûts de transaction) ce qui diminue le prix de marché.
  3. Le marché unique limite les risques d’inflation par la demande. En augmentant l’offre à prix de marché exprimé dans une même unité, il diminue les tensions concernant les capacités de production
  4. L’abaissement des coûts moyens de production apparait comme étant le résultat de l’extension des marchés et de la réalisation d’économies ou de rendements d’échelles qui pousse à moyen terme à la  constitution d’entreprises de grandes tailles.
  5. Les vertus de l’intensification de la concurrence, qui pousse les firmes à chercher à accroître leur niveau de compétitivité, par la recherche en particulier de gains de productivité ou d’autres sources d’économies. Les entreprises réduisent leurs marges et réorganisent leur appareil productif de manière plus efficace.
  6. Spécialisation et élargissement de la gamme de produits : B. Belassa montre ainsi que la mise en place de l’Union douanière par l’Europe des six s’est accompagnée d’un essor de la spécialisation de l’appareil productif. Il en résulta un élargissement de la gamme de produits qui profita à la satisfaction des consommateurs et permit l’extension des marchés. Cette période coïncide avec le développement d’un commerce intra-branche. L’élargissement du Marché commun à des pays à niveaux de développement différents et/ou à dotations factorielles différentes va contribuer au développement d’un commerce interbranches qui s’accompagnera d’importantes réallocations de ressources dans l’espace régional.

Intégration régionale de l’UE

mai 11, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: L'europe dans le monde, Union Européenne 

Citons la définition de François Perroux (L’économie du XXe siècle) : « L’acte d’intégrer rassemble des éléments pour former un tout, ou bien il augmente la cohérence d’un tout déjà existant »

L’économiste hongrois Bela Balassa a proposé en 1961 un schéma d’intégration régionale. On entend par intégration régionale un mouvement de rapprochement économique, politique et/ou social engageant différents pays partenaires. On peut décrire les différents niveaux d’intégration de la manière suivante :

L’intégration régionale peut prendre plusieurs formes, allant de la simple zone de libre-échange à la constitution d’une union politique, en passant l’union douanière ou l’élaboration d’un marché commun.

  • Union économique : Marché commun + politique économique commune
  • Marché commun : Union douanière + Libre circulation des capitaux et des personnes
  • Union douanière : Zone de libre-échange
  • +Tarif douanier commun vis-à-vis des pays tiers
  • Zone de libre-échange :
  • Les pays membres éliminent entre eux les obstacles aux échanges de biens (droits de douane…)
  • Union douanière : suppression des barrières douanières et instauration d’un tarif extérieur commun
  • Zone de libre-échange : suppression des barrières douanières entre les pays membres
  • Union économique et monétaire : union économique plus mise en place d’une monnaie unique

Toutes les étapes successives franchies par les pays membres de l’UE correspondent aux étapes décrites par Béla Balassa : zone de libre-échange (traité de Rome, 1957), union douanière, marché commun (acte unique européen, 1986), union économique, union économique et monétaire (mise en place de l’euro, 1999). Même si la construction européenne n’est pas exactement calquée sur le schéma d’intégration économique proposé par Balassa, toutes les étapes qu’il décrit ont été franchies par les pays membres de l’UE, pour en faire un exemple et la zone d’intégration régionale la plus aboutie jusqu’à aujourd’hui.

Mondialisation et régionalisation peuvent donc apparaître, à certains égards, comme contradictoires. Tel n’est pas nécessairement le cas cependant. Ainsi, le degré d’ouverture croissant des économies rend possible l’essor simultané des échanges intra et extrarégionaux ; de même le surcroît de dynamisme économique attendu de tels processus d’intégration régionale est-il susceptible de compenser les pertes, pour les pays tiers, auxquelles toute intégration régionale semble initialement devoir conduire, du fait de l’intensification des échanges entre pays partenaires (« détournements de trafic »). Au demeurant, la constitution de blocs régionaux a été reconnue, dans le cadre des accords du GATT puis de l’OMC, comme une démarche légitime dès lors que de telles initiatives ne s’accompagnent pas de mesures visant à pénaliser les pays tiers (les accords régionaux sont d’ailleurs considérés comme des cas d’exceptions légitimes aux grands principes fondateurs du GATT ou de l’OMC). De fait, les mouvements d’intégration régionale n’ont pas été généralement conçus comme des tentatives visant à établir un protectionnisme à l’égard des pays tiers, mais plutôt comme des projets témoignant la volonté, pour différents Etats partenaires, d’aller plus loin sur la voie du libre-échange. Cet objectif s’avère être d’ailleurs, parfois, une étape préalable dans le cadre d’un processus d’intégration plus ambitieux.

Au rang des projets d’intégration régionale les plus modestes, on peut citer ici l’AELE (Association Européenne de Libre-Echange, regroupant aujourd’hui quelques pays européens n’ayant toujours pas adhéré à l’UE : Islande, Lichtenstein, Norvège, Suisse), l’ALENA (Accord de Libre-Echange Nord-Américain, impliquant le Canada, les EU et le Mexique), le Mercosur (« Mercado comun del sur », regroupant l’ Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay) ou encore l’ ANSEA (Association des Nations du Sud-Est Asiatique, rassemblant la Birmanie, le Brunei, le Cambodge, l’Indonésie, le Laos, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Thaïlande et le Viêt-Nam). Plus récemment, c’est en faisant référence à la construction européenne que le président du Brésil, Lula da Silva, proposait dès 2003 un projet d’intégration latino américaine qui devait déboucher sur une monnaie commune, une citoyenneté commune et un parlement commun. Cela a conduit à l’entrée en vigueur de l’Union des nations sud américaines en mars 2011.

Cependant, si l’on doit évoquer un projet ambitieux, la construction européenne s’impose incontestablement à l’esprit.

L’europe, un projet économique

mai 8, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: L'europe dans le monde 

Après l’échec de la Communauté Européenne de défense (1954), ce sont les solidarités économiques qui sont privilégiées. C’est pourquoi, dès l’origine, il ne s’agit pas seulement de favoriser la libre circulation des marchandises, mais surtout d’intensifier les liens commerciaux et culturels, de favoriser les coopérations entre entreprises, universités, laboratoires de recherche, de susciter et de faciliter les échanges entre européens (programmes Erasmus par exemple), de mettre en place des politiques communes (politiques agricole, régionale, énergétique, etc.). La perspective est clairement celle d’une forme ou d’une autre d’intégration politique démocratique (élection du parlement européen au suffrage universel direct depuis 1979).

C’est en ce sens que l’intégration européenne est originale, elle ne vise pas seulement à construire un espace économique intégré mais à faire de l’Europe un acteur à part entière de la vie internationale (c’est l’Union européenne en tant que telle qui siège à l’OMC, c’est l’Union européenne qui intervient à l’ONU etc.).

La construction européenne, un projet politique

mai 7, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: L'europe dans le monde 

Le projet d’intégration européenne est avant tout le produit de l’histoire. Ainsi, l’une des motivations initiales et fondatrices de la construction européenne tient dans la volonté affichée, par les pays instigateurs, d’établir durablement la paix en Europe. En novembre 1954, Jean Monnet écrivait : « Nos pays sont devenus trop petits pour le monde actuel, à l’échelle des moyens techniques modernes, à la mesure de l’Amérique et de la Russie d’aujourd’hui, de la Chine et de l’Inde de demain. L’unité des peuples européens, réunis dans les Etats-Unis d’Europe, est le moyen de relever leur niveau de vie et de maintenir la paix ».

Si l’idée d’Etats-Unis d’Europe est ancienne, c’est l’expérience cruelle des deux guerres mondiales qui pousse les « pères fondateurs » à relancer le projet européen dans le but d’éviter le renouvellement des « guerres fratricides » en Europe et pour cela de construire des solidarités fortes entre les Etats et entre les peuples. Cet objectif politique se double de visées économiques. Il s’agit ici, d’abord, d’aider l’Europe à se relever, puis, à travers la constitution progressive d’un vaste marché commun, de renforcer la croissance et la compétitivité économiques  de la zone. Ce volet économique du projet européen va d’ailleurs assez vite prendre l’ascendant, à mesure que le spectre de la guerre s’éloigne, sur les ambitions politiques fondatrices, telles qu’elles s’expriment, notamment, au travers de la « déclaration Schuman ».

Une rigueur plus modérée

mai 4, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: Union Européenne 

A la surprise générale, la commission européenne a décidé de proposer un délai supplémentaire de 2 ans à la France dans le remboursement de son déficit à moins de 3 pour cents du PIB. Cet objectif, initialement prévu pour 2013, devra donc être atteint pour 2015.

Le gouvernement français n’en attendait pas autant. En effet il s’attendait à ce qu’un délai seulement d’un an soit accordé. Pour rappel cet objectif de descendre sous les 3 pour cents du PIB de déficit était un engagement pris par Nicolas Sarkozy et réaffirmé par le président actuel François Hollande.

Cette décision a été prise par Olli Rehn. Elle montre la volonté d’une politique de rigueur plus modérée, en opposition avec l’échec de la politique de rigueur menée en Grèce. Mais cet engagement n’a pas été pris sans rien demander en retour. En contrepartie, la commission européenne demande au gouvernement des français d’intensifier son travail dans les réformes et de réduire les dépenses publiques.

On voit donc ici une volonté politique de la gouvernance européenne de sortir des stratégies habituelles qui ont, jusqu’à présent, mis l’euro au bord de la faillite.

L’action de groupe, bientôt d’actualité en france

mai 2, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: France 

Ce projet de loi « ne coûtera rien budgétairement », selon le ministère des finances.

Le but de cette réforme? Réaffirmer le pouvoir du consommateur. En effet, suite aux différents scandales de ces dernières années, il était temps de voir une réforme permettant de protéger les consommateurs envers les abus de certaines entreprises. De plus, faire respecter les droits du client est une bonne arme pour augmenter le pouvoir d’achat.
Pourquoi seulement maintenant? En réalité, ce texte est en préparation depuis 8 mois. Il devrait entrer à l’Assemblée dans les prochaines semaines.

L’action de groupe existe depuis bien longtemps aux États-Unis. Elle permettra aux association de défense des consommateurs tel que « UFC que choisir », de mener des actions en justice avec des centaines voir des milliers de plaignants. Ces actions devront toute fois êtres menées par une liste d’associations accréditées et non pas par des avocats indépendants.

Cette action de groupe est bénéfique pour les consommateurs et la justice puisqu’elle devrait permettre de donner plus de pouvoir aux consommateurs tout en désengorgeant les tribunaux.

Saison culturelle européenne

mai 2, 2013 by · Commentaires fermés
Filed under: Culture 

La saison culturelle européenne est née à Paris le 3 juin 2008 au Grand Palais. Cette création, une initiative provenant de la Présidence française de l’Union Européenne, s’est faite en présence de grandes personnalités.  Elle consiste en plusieurs événements culturels,  se déroulant sur une période de six mois à partir de juillet 2008. Cette saison culturelle a en partie pour vocation d’accueillir de nombreux et talentueux artistes européens dans la plupart des grandes villes de France.

Les trois principaux buts de cet événement sont de mettre en valeur les différentes cultures européennes, de rapprocher l’Europe des citoyens, et de créer des rendez vous fréquent puisque cet saison culturelle est basée sur le principe d’un événement par jour!

Page suivante »